Avant d’en venir au coeur du sujet du jour, un petit retour en arrière s’impose. En 2011, Reflets et Telecomix jetaient un de leurs pavés dans le marigot des vendeurs de technologies duales, qui servent aussi bien à gérer un réseau, qu’à mettre en place une surveillance de la population en vue de faciliter la répression. Après Amesys, nous lancions en octobre 2011 l’affaire BlueCoat. Quinze appliances de l’entreprise américaine étaient découverts en Syrie, un pays où les entreprises américaines ne peuvent exporter en raison d’un embargo. En matière d’armes électroniques, c’est une bonne chose.