Le bénévolat est défini comme le fait de s’engager librement pour mener une action non salariée en direction d’autrui, en dehors de son temps professionnel et familial.
Mais que représente cette pratique en France ? Combien de personnes s’investissent dans des actions bénévoles et au travers de quels organismes ? Cette vidéo tend ainsi à présenter un état des lieux du bénévolat en France : vecteur de lien et de solidarité, contribuant de façon déterminante à de nombreuses activités socio-économiques, en évolution mais toujours dynamique, c’est un phénomène très important dans l’économie et plus largement dans la société.
... Quelles sont les espèces présentes en Nouvelle-Aquitaine ? Quels sont leurs milieux de prédilection ? Leurs populations sont-elles en bon état ou bien en déclin ? …voici un échantillon des questions auxquelles les naturalistes vont tenter d'apporter des réponses au cours des 5 années du programme dénommé “Entomo-NA” - pour Entomologie de Nouvelle-Aquitaine.
Nouvelle-Aquitaine | Actualités en Aquitaine
Par Marc Chaillou, 22 Nov 2022
"À cette fin, les experts naturalistes de la région [ont lancé] jeudi 17 novembre un appel à participation à destination des citoyens.
… Et les invitent, pour commencer, à porter un regard attentif sur les bouses et autres crottins pour y déceler leurs habitants les plus reconnaissables : les gros coléoptères coprophages - ou grands bousiers. Une trouvaille ? De quelle couleur l'arthropode est-il ? porte-t-il des cornes sur la tête ? Ses élytres sont-ils striés ? Son corps est-il arrondi ou plutôt allongé ?
… Les partenaires publient une clé de détermination pour une identification pas à pas accessible à chacun. En complément et à travers un guide, les volontaires feront connaissance avec les 11 espèces présentes en Nouvelle-Aquitaine, leurs comportements, périodes d'activités et les méthodes d'observation.
Une démarche participative qui sera très vite étendue aux forficules - ou perce-oreilles - un autre groupe d'espèces auxquelles les experts naturalistes s'intéressent déjà."
L'objectif du projet est de redonner un aspect plus naturel au col de Salèse.
Publié le 10.05.2019
"... Il s'agira pour les bénévoles de faucher à proximité des herbes montées en graine pour les déposer au col tel un paillage, des deux côtés de la route, afin que la végétation puisse repartir spontanément au printemps 2020."
Bénévolat, lutte contre le gaspillage alimentaire, recyclage des déchets … Autant d’actions citoyennes qui peuvent être réalisées à partir de son smartphone, grâce à des applications gratuites, simples et ludiques. Pour s’y retrouver et rendre son quotidien plus responsable, Kaizen a fait le point.
À l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine, rendez-vous incontournable de la rentrée, la Fondation Nicolas Hulot lance les 1res journées «J’agis pour mon patrimoine naturel»
J'agis Pour La Nature : plateforme nationale du bénévolat nature. « Débroussaillage des aubépines et prunelliers. En partenariat avec le Parc Naturel Régional des Caps et Marais d'Opale. »
« Le communal d'Audrehem s’inscrit dans une vaste chaîne de coteaux communément appelée “ la cuesta du Boulonnais ”. Situées au cœur du pays de Licques, les pelouses calcicoles d'Audrehem sont parmi les plus riches du Parc naturel en terme de faune, flore et fonge. Classé en site Natura 2000, le site d'environ 80ha est pâturé par des moutons Boulonnais, ce qui permet de maintenir des espaces ouverts indispensables aux espèces typiques (Orchidées, Genévriers, Thym serpolet ; papillons : Argus, Citron, Demi-deuil, etc.) qui ont besoin de lumière pour s'épanouir. »
A citizen science project to transcribe butterfly labels
Depuis des siècles, les amateurs de papillons du monde entier ont compilé de grandes collections de papillons. Ces collections sont une ressource précieuse pour la recherche scientifique de nos jours. Chaque papillon est accompagné par un ou plusieurs étiquettes.
Sur l'étiquette, on peut trouver toutes les informations pertinentes où ce papillon a vécu une fois. Considérant que certains musées ont des collections de plusieurs millions de papillons, on peut comprendre la richesse des informations stockées dans ces centenaires collections.
Les ordinateurs peuvent être utilisés pour transformer cette information en cartes de répartition et d'éclairer les connaissances sur les papillons jusque-là inconnues à l'humanité. Mais, un ordinateur ne peut pas lire !
Aujourd'hui dans CO2 mon amour, il est question de Killers de Lombrics, de pharmacopée sous-marine, de jardin urbain, de tulipe, de métiers de l'environnement, et d'actualités.
Quatre espèces de Plathelminthes, originaires de Nouvelle-Zélande ou d'Australie, ont débarqué sur nos terres ; parce qu'ils sont extrêmement friands de nos précieux lombrics, Jean Lou Justine, professeur de zoologie au Muséum National d'Histoire Naturelle, les suit de près, et a lancé un programme de science collaborative destiné à les recenser...
La Fondation Nicolas Hulot innove en matière de collecte de fonds De juillet à octobre 2013 a lieu une opération de crowdfunding sur le site www.kisskissbankbank.com (une petite définition s’impose: le crowdfunding – que l’on traduit littéralement par « financement par la foule » - consiste à inciter les internautes à investir dans un projet).
La Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme (FNH) a choisi la plateforme KissKissBankBank pour lancer sa première action de financement participatif. A partir du 11 juillet, les internautes sont invités à soutenir le bénévolat nature en participant au financement de “J'agis pour la nature” : plateforme Internet recensant les actions de protection de la nature proposées au public par plus de 110 associations et gestionnaires d’espaces naturels.
L'Hermite Chazara briseis est un papillon ayant subi un très fort déclin en France mais aussi en Provence. Il est en effet classé comme « vulnérable » sur la liste rouge des papillons menacés en France
Sur les traces des petits habitants de nos forêts… Récolter 50 000 observations liées aux espèces d’animaux liés aux milieux forestiers. C’est le défi lancé par le Muséum national d’Histoire naturelle, Natureparif et l’association Noé Conservation.
Une enquête sur les ascalaphes coordonnée par l'ONEM... Tout le monde est invité à participer... Partager
« Enquête participative sur les ascalaphes, des insectes fascinants mais peu connus... »
Les Ascalaphes sont de petits insectes qui vivent à l’ombre de leurs cousins libellules et papillons, bien plus connus qu’eux. Colorés et apparentés à l’ordre des Nevroptères, ils sont élégants et mystérieux, ne laissant pas les promeneurs ou naturalistes indifférents. Pourtant, très peu de travaux ont été menés sur cette famille fascinante, et bien des questions restent aujourd’hui en suspens. Ou vivent-ils ? Comment se développent-ils ? Quelles sont leur répartition géographique, quels milieux et conditions leur sont favorables ? Comment les différencier ?
Un site web californien propose aux Internautes de décrypter plus d'un siècle de notes et documents scientifiques sur les anthropodes de la région. L'objectif ? Accélérer la recherche et partager ces connaissances avec le plus grand nombre.
Le projet de réforme aujourd’hui en discussion inquiète le monde associatif, en raison des effets que peut avoir le recul proposé de l’âge légal de départ à la retraite sur le bénévolat associatif, et parce qu’il traduit une absence de prise en compte de cette économie non lucrative pourtant indispensable au fonctionnement de notre société. […]
Giving Tuesday revient ce 30 novembre pour sa quatrième édition française. Chaque année, ce mouvement mondial est le rendez-vous de la générosité. Le principe ? Encourager le don sous toutes ses formes. À vos marques, prêts, donnez !
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Pour en savoir plus :
GivingTuesday, souvent référencé « #GivingTuesday » sur les réseaux sociaux, est une campagne mondiale qui, chaque année, met en avant la générosité et mobilise des millions de personnes en faveur d’un engagement social.
Présentation
GivingTuesday est une journée internationale de charité, observée au début des fêtes de fin d'année. Ce mouvement mondial encourage et multiplie le don et l'engagement. L'idée centrale est de consacrer une journée au don sous toutes ses formes : argent, temps (bénévolat), sang, nourriture, objets, etc.
Le succès de GivingTuesday repose sur la mobilisation de tous : les entreprises lancent des activités de don ou mettent leurs employés à disposition pour du travail bénévole, les écoles organisent des courses aux dons et les commerces vendent des produits dont les recettes seront reversées à des œuvres d'entraide.
Histoire, origine
Le Giving Tuesday s'inscrit dans un objectif de célébration de la solidarité.
Giving Tuesday a été lancé en 2012 par la communauté newyorkaise 92nd Street Y (en) et la Fondation des Nations unies en réponse au consumérisme de l'après-Thanksgiving : le Black Friday et le Cyber Monday.
Au Québec, ce jour est appelé : « Mardi je donne ». En France, l'expression en anglais est utilisée depuis 2018, année de la première édition française de l'événement, soutenue notamment pas Reporters sans frontières, la fondation Abbé-Pierre, l'Unicef et l'Armée du salut.
En France, le mouvement Giving Tuesday est coordonné depuis la toute première édition par l'Association Française des Fundraisers, qui fédère des professionnels de la collecte dans tous les secteurs de l'intérêt général."
Les projets de sciences collaboratives se multiplient permettant à chaque citoyen de s’impliquer dans la recherche scientifique. Etat des lieux.
Elise Tancoigne
Post-doctorante, Université de Genève
Publié: 9 juillet 2018, 22:48 CEST
Cet article est publié dans le cadre du EuroScience Open Festival (ESOF), dont The Conversation France est partenaire.
Presque partout dans le monde, de nombreuses personnes participent bénévolement à des projets de recherche scientifique, dans des domaines aussi variés que l’étude du climat, l’astronomie, la médecine ou encore l’histoire.
L’indexation de publications médicales ou le recensement de la biodiversité de votre jardin ne sont plus qu’à une portée de clic : plus de 1 000 projets de cette recherche dite « participative » sont répertoriés sur le site américain SciStarter. Que vous soyez chez vous, à la plage, ou dans le métro, il y a forcément une activité qui peut vous correspondre.
Les recherches participatives ne sont pas nouvelles. On peut penser au comptage annuel d’oiseaux réalisé par la société naturaliste américaine Audubon depuis 1900, ou encore à la collecte à grande échelle de dents de lait réalisée dans les années 1950 pour évaluer les retombées des essais nucléaires dans le monde par mesure de taux de Strontium. L’essor des réseaux sociaux, des applications pour smartphones et, plus généralement, des outils numériques, contribue à rendre ces projets visibles et accessibles au plus grand nombre.
Ce qui est nouveau en revanche est la création, depuis quelques années, de nombreux espaces d’échanges, virtuels ou physiques, autour de tous ces projets, que ce soit au niveau national ou européen. On voit ainsi fleurir des associations dédiées à la promotion de recherches participatives aux États-Unis, en Australie, en Europe ou encore en Suisse, ainsi que des plates-formes en ligne comme SciStarter, qui répertorient les différents projets ou proposent des outils d’aide à leur création. Les organisateurs et organisatrices de ces projets se rencontrent et échangent sur leurs pratiques lors du congrès annuel de l’European Citizen Science Association (ECSA), ou dans les colonnes du journal Citizen Science : Theory and Practice. Cette institutionnalisation s’accompagne de l’émergence d’une nouvelle profession dans le paysage de la médiation scientifique : celle de coordinateur (ou, bien souvent, coordinatrice) de projet de sciences participatives.
Fréquemment soutenus par des financements publics dédiés à la médiation scientifique, ces associations, journaux et conférences sont des espaces où un ensemble de savoirs et de normes de la participation se développent, se partagent et sont mis en œuvre.
Connaître les mécanismes de la participation
Contrairement aux plates-formes de microtasking comme Amazon Mechanical Turk, qui propose un ensemble de tâches à réaliser contre rémunération, les projets de bénévolat scientifique offrent à leurs participant·e·s des contreparties uniquement symboliques : accroître leurs connaissances, contribuer à des causes particulières, apprendre de nouvelles choses sur eux-mêmes. Pour les organisateurs du bénévolat scientifique, savoir comment attirer des participants, maintenir leur intérêt et prolonger dans le temps leur investissement devient donc un enjeu de taille. Comme pour tous les processus de participation en ligne, ces projets obéissent à la loi de la « longue traîne » : très peu de personnes effectuent la plus grande partie du travail, alors que la grande majorité d’entre elles ne font que des contributions ponctuelles. Elles s’inscrivent par curiosité, contribuent brièvement, puis quittent le projet et ne reviennent pas par la suite. Sur environ 10 millions de personnes inscrites sur les plus grandes plates-formes en ligne de sciences participatives (par exemple Zooniverse, BOINC, ou PatientsLikeMe), ce sont ainsi moins de 3 % qui ont été actives en avril 2018.
Certains chercheurs tentent donc de mieux connaître les profils sociodémographiques des participant·e·s, ainsi que leurs motivations à s’engager. Le « rapport sur les sciences participatives » publié en 2016 par François Houllier, alors PDG de l’Institut National de la Recherche Agronomique (Inra), montre l’hétérogénéité de ces pratiques d’engagement citoyen dans des activités de recherche. Certains s’engagent en raison de leur appartenance à un groupe social spécifiquement concerné par la recherche : élus, habitants, familles, patients, étudiants, élèves, personnes handicapées, etc. D’autres s’engagent par intérêt personnel : astronomes ou naturalistes amateurs, passionnés d’informatique ou de science expérimentale. Chaque type de projet attire un type particulier de participant : alors que le nombre de femmes et de personnes âgées est plus important dans les projets environnementaux, ce sont par exemple plutôt des hommes, actifs, que l’on retrouve dans les projets qui demandent aux participants de partager du temps de calcul de leur ordinateur. Tous ont cependant en commun de partager un niveau d’études généralement supérieur à la population générale, avec une forte composante de formation scientifique et technique.
Un second type de connaissances produites sur la participation concerne l’évaluation et l’élaboration des différents outils numériques utilisés pour capter l’attention et retenir l’utilisateur. Entre l’interface sobre de GalaxyZoo, qui présente à l’utilisateur des successions d’images de galaxie à caractériser, et le jeu de reconstruction neuronale EyeWire, avec ses héros, ses battles et son chat interactif, les moyens mis en œuvre pour capter et retenir les participants – et le type de science qu’ils choisissent de montrer – diffèrent grandement. Derrière la création de ces interfaces et de ces nouvelles connaissances se trouvent des experts en user experience, gaming, design, ou encore en sciences de l’éducation et en sociologie.
Encadrer les pratiques
Outre ces savoirs, il s’élabore également dans ces espaces d’échange dédiés aux sciences participatives des normes de participation, sous forme de recommandations et guides de bonnes pratiques. Des traditions de participation très différentes sont regroupées sous le vocable de sciences participatives (citizen sciences dans le monde anglo-saxon). Entre la tradition médicale, qui place le participant dans un rôle de sujet d’expérimentation, la tradition naturaliste, où l’amateur publie autant que l’expert, et la recherche-action en agriculture, qui favorise la co-construction de questions de recherche, ce sont différentes visions du participant et de sa relation avec le scientifique qui cohabitent dans ces espaces.
Les « 10 principes des sciences participatives » ont par exemple été publiés en 2015 par l’association ECSA, basée au Muséum d’Histoire naturelle de Berlin, et traduits en 25 langues. Ils définissent les formes que peuvent prendre les collaborations, ainsi que le statut des données, méta-données ou publications qui en sont issues. Bien que volontairement larges et inclusifs, ces 10 principes laissent néanmoins percevoir le creuset de leur élaboration : celui de la tradition naturaliste et environnementale. Par exemple, les points éthiques soulevés font référence à la propriété des données, à leur confidentialité, et aux impacts environnementaux des recherches. Mais ils restent silencieux quant à l’impact que la recherche pourrait avoir sur les participants – un point pourtant crucial et très réglementé en recherche clinique.
Les connaissances produites par les projets de science participative ne se limitent donc pas à faire avancer la recherche sur la biodiversité, l’histoire ou la cosmologie des nombres premiers. À travers ces espaces d’échange autour des sciences participatives s’élaborent également de nouveaux savoirs autour de la participation elle-même, des motivations individuelles et des dynamiques collectives, qui enrichissent le paysage du bénévolat contemporain."
Le bénévolat vous tente ? Trouvez sur notre site les propositions de milliers d'associations, ainsi que toutes nos implantations en France pour vous conseiller.
Citrons, Paon de Jour, Petite et Grande Tortue, Vulcain, Robert-le-Diable, le Morio… Les premiers papillons font leur apparition en ce moment. Le public est appelé à observer ces spécimens pour enrichir les bases de données sur la faune.
Vigie Nature. « Un post exceptionnel pour donner un coup de main à Nathalie Machon, professeur au Muséum national d'Histoirenaturelle !
Depuisqu'elle a lancél'Opérationcymbalaires « graines », au côté de TelaBotanica, le réseau de la botaniquefrancophone, (icil'article pour se remémorer le pourquoi et le comment de « l'opé ») Nathalie a reçu 39 sachets de graines. 24 en provenance de Paris et d'Ile-de-France et 15 de Province. Maisc'est encore trop peu pour réaliser des statistiquesàl'échelle de la France. Je vousrappelleque Nathalie souhaite faire germer les grainesreçues par la Poste et faire pousser les cymbalairesvenant de zones urbaines et de campagnes au Muséum. »
[...]
« Il n'est donc pas trop tard pour suivre la piste des cymbalaires.... et d'en emporter un trophée avec vous ! Emportez des enveloppes lors de vos balades et moissonnez !
Les lauréats de ce prix ont été choisis par un comité d'une dizaine de scientifiques de tous horizons.
Il a d'abord effectué une présélection. Et ce sont ensuite des journalistes de La Recherche qui ont désigné les 12 équipes lauréates. Cette année, ils se sont montrés particulièrement sensibles aux recherches menées sur l'impact des activités humaines sur les écosystèmes puisqu'ils ont aussi récompensé une étude portant sur la migration d'oiseaux et de papillons liée au réchauffement climatique.
Ces travaux réalisés entre autre par des chercheurs de l'institut des sciences de l'évolution de Montpelier, indiquent que le réchauffement de un degré en moyenne observé en Europe depuis 1990 a conduit de nombreuses espèces à migrer vers le Nord. Le problème c'est qu'elles ne l'ont pas fait toutes à la même vitesse. En 20 ans, les zones d'habitats des papillons se sont déplacées de 114 km alors que celles des oiseaux n'ont migré que de 37 km. Ce décalage déstabilise les écosystèmes. Des espèces qui devraient interagir entre elles ne se trouvent plus au même endroit. Certains oiseaux n'ont plus accès aux chenilles (donc aux papillons) dont-ils se nourrissaient.
Cette étude s'appuie sur des observations faites durant 18 ans, de près de 9.500 communautés d'oiseaux et plus de 2.000 communautés de papillons. Pour suivre autant de populations d'animaux dans toute l'Europe, les scientifiques n'ont pas utilisé de puce RFID cette fois. En fait les chercheurs se sont appuyés sur des données recueillies par plus de 10.000 bénévoles sur tout le continent. Un très bel exemple de science participative.
Ces études et toutes les autres récompensées lors de la 10e édition du Prix La Recherche sont à découvrir dans le magazine La Recherche daté du mois de novembre qui vient de paraitre.
Maintenant la seconde phase de l’enquête Gentiane et Azuré a donc commencé !
L’objectif final est de cartographier la répartition du papillon Azuré (Maculinea alcon). Pour cela, il va donc falloir regarder toutes les photos de Gentianes, voir si on voit des œufs de papillon et le signaler. Nous obtiendrons ainsi une carte des Gentianes abritant l’Azuré, ce qui donnera une idée de la répartition de ce papillon.
Pouvant atteindre 17 cm de long avec les antennes, la Magicienne dentelée est l’un des plus grands insectes de France et d’Europe. Il s’agit d’une sauterelle peu connue appartenant au groupe des Orthoptères qui rassemble également les criquets et ...
[...]
Elle est encore peu connue en Midi-Pyrénées car elle est très discrète et difficile à trouver en limite Nord de son aire de répartition. Elle est grosso modo connue à ce jour dans les causses du Quercy, les gorges de l’Aveyron et le causse du Larzac. Cet insecte suscite l’intérêt des naturalistes pour compléter les connaissances à son sujet.
Ainsi, si vous rencontrez cette sauterelle, prenez-la en photo afin de valider l’observation et participer à son inventaire.
Nicolas Deguines est chercheur au Muséum national d'histoire naturelle et coordinateur scientifique du SPIPOLL. Il nous parle de cet observatoire participatif et de l'observation des insectes pollinisateurs.
Lutter contre Paysandisia, le papillon ravageur du palmier Le papillon Paysandisia archon fait des ravages parmi les palmiers du sud de la France. Vous êtes ...
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