Art africain contemporain
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Revue des médias sur la création plastique du continent africain et de sa diaspora
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RÉCOMPENSE | Yoriyas parmi les 5 lauréats du prix de la photographie contemporaine africaine

RÉCOMPENSE | Yoriyas parmi les 5 lauréats du prix de la photographie contemporaine africaine | Art africain contemporain | Scoop.it

"Son travail photographique sur Casablanca a fait le tour du monde. Publié par de nombreux médias internationaux, dont le New York Times, “Casablanca not the movie” a valu à Yoriyas une nouvelle reconnaissance. Mercredi 13 juin, le photographe marocain a reçu le prix de la photographie contemporaine africaine (Contemporary African Photography Prize) aux côtés de quatre autres photographes.

Les noms des cinq lauréats, sélectionnés parmi une short list de 25 photographes, ont été annoncés pendant la Photo Basel, première foire internationale suisse dédiée à l’art photographique, qui se tient du 12 au 17 juin à Bâle.

Paul Botes (Afrique du Sud), Anna Boyiazis (États-Unis), Tommaso Fiscaletti & Nic Grobler (Afrique du Sud) et Phumzile Khanyile (Afrique du Sud) sont les autres gagnants du prix. Ouvert aux photographes de tout âge et tout milieu, le CAP Prize est décerné à des œuvres qui s’engagent avec le continent africain ou sa diaspora. Un panel de 23 juges internationaux a permis de sélectionner les cinq vainqueurs."

 

> Début de l'article d'Anaïs Lefébure publié sur huffpostmaghreb à retrouver en intégralité sur http://bit.ly/2tbBnF8

Karin Barlet's insight:

Accédez à la série "Casablanca, not the movie" en cliquant ici.

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PRIX | le Franco-Algérien Kader Attia remporte le prix Marcel-Duchamp

PRIX | le Franco-Algérien Kader Attia remporte le prix Marcel-Duchamp | Art africain contemporain | Scoop.it
« […] Le 18 octobre 2016, l’artiste franco-algérien Kader Attia a reçu le prix Marcel-Duchamp décerné par l’Association pour la diffusion internationale de l’art français (Adiaf). Ainsi est-il exposé entre les murs du centre Pompidou dans un espace de 600m2 consacré aux quatre artistes nommés cette année. Signe d’ouverture de ce prix créé en 2000, il comptait dans sa sélection le Camerounais Barthélémy Toguo, la Marocaine Yto Barrada et l’Allemande Ulla Von Brandenburg. Cette consécration pour Kader Attia, artiste incontournable des grandes manifestations de l’art contemporain africain comme la biennale de Dakar, tombe à point nommé. Il vient en effet d’ouvrir à Paris un « espace de pensée libre et indépendant », baptisé avec une certaine ironie La colonie. 

Né (…) en Seine-Saint-Denis (93) de parents algériens, Kader Attia a été formé à l’École supérieure des arts décoratifs de Paris et à l’École des Beaux-Arts de Barcelone. À la croisée d’influence multiples – la vie en banlieue dans un milieu cosmopolite, l’ambiance des marchés où il gagne ses premiers revenus, le service civil au Congo-Brazzaville… – il commence par s’exprimer à travers la photographie, avant de proposer des installations traduisant tout à la fois l’inconfort et la richesse de ses diverses identités. […] 

[…] « Ouvrir un espace culturel et engagé, dédié aux arts visuels, à la musique, à la performance, à l’expression au sens large, en passant par la pensée critique, dans une société et à une époque où les voies d’expressions libres sont chaque jour recadrées par le conformisme institutionnel, c’est lutter contre la montée du fascisme et de l’obscurantisme, écrit-il. Résister contre le poids du déni national a toujours nourri ma sensibilité d’artiste et ma pensée de chercheur. De la pensée à l’acte, j’ai longtemps rêvé d’un lieu où, […] il serait enfin possible d’échanger, de dialoguer, d’oeuvrer à réparer une société qui n’en fini plus de se fragmenter… Ensemble, à travers la musique, les arts, le spectacle, et les débats, La Colonie va faire tout ce qui est en son pouvoir pour se ré-approprier cet espace abandonné par l’opacité de notre monde. » […] 

> Extraits de l’article de Nicolas Michel publié sur jeuneafrique.com à retrouver en intégralité sur http://bit.ly/2epZkoD
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La colonie
128 rue Lafayette, Paris 10e
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PRIX | Deux artistes nigérianes parmi les finalistes du Prix Canson 2016

PRIX | Deux artistes nigérianes parmi les finalistes du Prix Canson 2016 | Art africain contemporain | Scoop.it

« L’organisation du Prix Canson® […] a levé le voile hier sur les finalistes de l’édition 2016. Les Nigérians Ruby Onyinyechi Amanze et Njideka Akunyili Crosby, les Britanniques David Shrigley et Lucy Skaer et l’Américaine Bethany Collins sont les artistes retenus par le jury présidé, comme l’année dernière, par l’artiste brésilien Tunga. L’annonce du lauréat se fera le 21 juin lors d’une cérémonie au Drawing Center de New York, où les cinq finalistes exposeront leurs œuvres, du 22 juin au 1er juillet. En plus d’une dotation en papier Canson® d’une valeur de 10 000 €, l’heureux élu bénéficiera d’une exposition personnelle dans une foire internationale d’art contemporain dans l’année suivant la remise du prix. […] » 


> Extrait de l’article de Pierre Biet publié sur connaissancedesarts.com à retrouver dans son intégralité en cliquant sur le titre ou sur http://bit.ly/1r36bF6 ;


>> Illustration : Njideka Akunyili Crosby, « Mama, Mummy and Mamma (Predecessors #2) », 2014 (source : http://njidekaakunyili.com/work/mama-mummy-and-mamma)

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Le sculpteur béninois Kifouli Dossou renonce au prix Orisha

Le sculpteur béninois Kifouli Dossou renonce au prix Orisha | Art africain contemporain | Scoop.it
Il est des entreprises qui semblent maudites dès leur conception. Le prix Orisha, lancé en 2014 par la collectionneuse béninoise Nathalie Miltat et Timothée Chaillou, codirecteur artistique de la foire Akaa, est de celles-là. Plus que maudite, mal emmanchée, tant l’opération trahit un certain amateurisme.

L’idée était pourtant vertueuse : offrir tous les deux ans une récompense d’une valeur de 10 000 euros à un artiste du continent africain, assortie de deux expositions. Un soupçon de collusion, relevé par les membres du comité de sélection, avait toutefois terni le lancement. L’artiste béninois primé, Kifouli Dossou, avait été présenté par Marie-Cécile Zinsou, dont le père, Lionel Zinsou, l’actuel premier ministre du Bénin, est un actionnaire influent de la maison de ventes Piasa qui accueillait la soirée…

Si le prix Orisha fait de nouveau parler de lui, c’est que le lauréat a finalement décidé d’y renoncer, après avoir constaté un dysfonctionnement dans ses modalités. Sur le site Internet, il est ainsi spécifié que « le prix permet au lauréat de bénéficier d’une dotation financière de 10 000 euros lui servant à la production d’œuvres pour deux expositions personnelles ». Sauf qu’au final la somme est affectée non à la production d’œuvres mais à l’organisation des expositions prévues dans l’espace créé par le marchand Bob Vallois à Cotonou et à la galerie Patricia Dorfmann à Paris.

...

> Accédez à la suite de l'article de Roxana Azimi publié sur lemonde.fr en cliquant sur le titre

 

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Njideka Akunyili Crosby remporte le prix décerné par l'American Art Museum

Njideka Akunyili Crosby remporte le prix décerné par l'American Art Museum | Art africain contemporain | Scoop.it

Le Smithsonian American Art Museum a récompensé la peintre d'origine nigériane Njideka Akunyili Crosby par son onzième prix d’art contemporain James Dicke.

Le jury a mis en avant la capacité de l'artiste à évoluer entre son pays d'adoption (les Etats-Unis) et son Nigeria natal : "elle a créé un langage visuel sophistiqué qui rend hommage à l'histoire de la peinture occidentale tout en intégrant des références aux traditions culturelles africaines."

(article en anglais)

Karin Barlet's insight:

Voir son site http://njidekaakunyili.com/

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1 SEMAINE/1 ŒUVRE – “Moving Shadows IX” de Girma Berta

1 SEMAINE/1 ŒUVRE – “Moving Shadows IX” de Girma Berta | Art africain contemporain | Scoop.it

« Addis-Abeba est une mosaïque » pour Girma Berta. « La plupart des photos réalisées par le passé ont tendance à illustrer des idées préconçues du pays : le tourisme, ou la pauvreté ». Avec sa série Instagram en cours, le photographe éthiopien documente un autre aspect de sa ville en prenant des photos dans les rues avec son iPhone. #StreetsOfAddis n’était au départ qu’un hashtag sur l'Instagram personnel de Girma Berta. Il est ensuite devenu le thème d'une exposition, et plus récemment, le point de ralliement d’une communauté de photographes de rue en Éthiopie. L’artiste encourage ses collègues photographes vivant à Addis-Abeba à partager leurs propres images sur le flux @StreetsOfAddis Instagram. (d’après www.okayafrica.com/culture-2/streets-of-addis-photographer-girma-berta/ en anglais) 


La série « Moving Shadows » illustre son style caractéristique. À partir de photographies de rue réalisées avec son téléphone portable, il isole des scènes de la vie quotidienne avec leurs travailleurs et leurs gens ordinaires, et les place ensuite sur des fonds de couleur unie. Il vient de recevoir, aux côtés de deux autres photographes, le prix Getty Images Instagram, lancé pour soutenir les photographes dont le travail met en avant la vie de communautés sous-représentées. (d’après http://addisfineart.com/artists/49-girma-berta/biography/ et www.digitaltrends.com/photography/getty-instagram-grant-2016, en anglais)


La série était présentée par la galerie Addis Fine Art à la première édition de la foire AKAA à Paris. 


Girma Berta – « Moving Shadows IX », 2016. Copyright : the Artist (Source : http://addisfineart.com/artists/49-girma-berta/works/9650/)

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DISTINCTION | Njideka Akunyili Crosby, l'art de magnifier le papier

DISTINCTION | Njideka Akunyili Crosby, l'art de magnifier le papier | Art africain contemporain | Scoop.it

"Cette artiste nigériane, reconnue pour son travail complexe autour du multiculturalisme entre son Nigeria natal et les États-Unis, obtient le prestigieux prix Canson 2016."


"[…] Souvent basé sur des scènes d'intérieur intime, où l'on peut reconnaître l'artiste elle-même ou son mari, le travail complexe de superpositions de Njideka Akunyili Crosby reflète l'identité transculturelle contemporaine. […] 


« Nous avons estimé que votre travail possède un niveau de complexité inégalé. Il confond le récit personnel avec d'autres composantes culturelles complexes. Votre maîtrise de plusieurs matières artistiques […] et […] votre dévouement total au papier ont beaucoup contribué à l'attribution de ce prix », a dévoilé Brett Littman, vice-président du prix Canson […]. 


Visuellement, regarder une œuvre de Njideka Akunyili Crosby n'est pas un acte anodin. D'abord, il faut voir les combinaisons de dessin, de peinture, le collage de magazines d'actualité (souvent nigérians) ou encore des photocopies diluées à l'acétone. Et ce n'est pas tout ! L'ensemble impressionne, puisque certaines œuvres sont ensuite diffusées sur de larges compositions figuratives sur des tissus wax. Son univers d'exploration ou d'inspiration est tout aussi complexe. L'intimité de l'artiste est souvent mise en scène, quitte à parfois nous faire entrer dans la chambre à coucher de son couple... […]. 


Que raconte-t-elle derrière […] ces intérieurs domestiques ? Eh bien, tout simplement le quotidien des gens, les échanges, le mélange des cultures, de la Grande-Bretagne, colonisatrice, au Nigeria ou encore en Amérique. […] Akunyili Crosby est née au Nigeria, où elle a vécu jusqu'à l'âge de seize ans. […] Elle vit et travaille désormais à Los Angeles […]. 


 Njideka Akunyili Crosby utilise donc le langage visuel et les traditions de la peinture académique occidentale pour ses personnages et ses mises en scène, tout en s'inscrivant au cœur d'une zone d'entre-deux, que le théoricien postcolonial Homi K. Bhabha définit comme le « troisième espace », c'est-à-dire un point de chevauchement et de mélange des cultures et des influences, propres aux communautés noires africaines. Une identité hybride qui se reflète dans son travail, puisqu'elle se rend régulièrement au Nigeria et dans d'autres pays d'Afrique pour puiser l'inspiration en prenant beaucoup de photos et en ramenant des magazines et des publicités sur le mode de vie nigérian. […]."


> Extraits de l’article de Joséphine Johnson publié sur afrique.lepoint.fr à retrouver en intégralité en cliquant sur http://bit.ly/28PXh6O

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DISTINCTION | Prix Marcel Duchamp 2016 : le bon cru des finalistes

DISTINCTION | Prix Marcel Duchamp 2016 : le bon cru des finalistes | Art africain contemporain | Scoop.it
La compétion s'annonce intense avec les quatre derniers nommés, Kader Attia, Barthélémy Toguo, Ulla von Brandenburg et Yto Barrada. Il faudra attendre jusqu'au mardi 18 octobre pour connaître le lauréat du prix qui couronne l'artiste «Made in France».

 

« […] Le cru 2016 du prix Marcel Duchamp, révélé le 4 février chez Artcurial, devrait être fort intéressant car quatre artistes vedettes vont se le disputer. Au cœur de cette compétition, aussi, une image de la France et une vision plus ou moins politique de l'art.

L'enjeu est de taille puisque le nouveau format de ce prix porté conjointement par l'ADIAF (Association pour la Diffusion Internationale de l'Art Français) et le Centre Pompidou […] prévoit une exposition collective […] présentée pendant trois mois, du 12 octobre 2015 au 16 janvier 2017, à Beaubourg, au sein des 650 m⊃2; de la Galerie 4 […].

 

Kader Attia, de Paris à Berlin

 

Certains sont de retour, comme Kader Attia, déjà célébré à la dernière Documenta de Kassel (The Repair's Cosmogony, 2013) et à la dernière Biennale de Lyon (son labyrinthe de vidéos et de débats, Reason's Oxymorons, 2015, a été le coup de cœur de nombreux visiteurs)... […].

 

Né en 1970 en France, ayant passé son enfance entre l'Algérie familiale et les banlieues de Paris, cet artiste puise tour à tour dans chaque culture pour renouer un dialogue, souvent, au point mort. […] Installé désormais dans Berlin la verte, ce farouche débatteur aime séduire par des images plastiques fortes (la ville en frigos scintillants de Skyline, 2007), faire peur en beauté (les femmes soumises au tchador de Ghost, 2007), contester l'abus de pouvoir en général et en particulier […].

 

La belle Ulla aux antipodes

 

Née en 1974 à Karlsruhe, à la frontière allemande et aux portes de l'Alsace, installée à Paris depuis 2005, Ulla von Brandenburg est, elle aussi, une chouchou des biennales. […]Théâtre chanté, narration vocalisée, mise en scène décalée, alternance du chaud et du froid, abstraction désincarnée, cette artiste multi-média est au cœur de toutes les tendances expérimentales et inter-disciplinaires qui passionnent le public hyper-connecté d'aujourd'hui.

 

La main de l'Afrique

 

Né en 1967 au Cameroun, Barthélémy Toguo vit et travaille entre Paris, Bandjoun […] et New York. […] le commissaire de la Biennale de Venise 2015, […] Okwui Enwezor, lui a donné sa place à l'Arsenal dans son exposition internationale à la thématique fort politique, All The World's Futures […].

Lui aussi a souvent eu les honneurs de la Biennale de Lyon, plutôt comme sculpteur que comme peintre. Les collectionneurs français gardent une tendresse particulière pour cet artiste vibrant qui se révéla chez la galeriste parisienne Anne de Villepoix avec des aquarelles hantées d'esprits sorciers, de fétiches et de femmes éternelles, des visions africaines plongées dans une tradition de peinture européenne. […]

 

Voyage de l'Atlas jusqu'à Nîmes

 

Née en 1971 à Paris, la franco-marocaine Yto Barrada qui vit et travaille entre Tanger et New York, a été, elle aussi, vue et remarquée à la Biennale de Venise 2007 et à celle de 2011.

Le Carré d'Art à Nîmes présente jusqu'au 13 mars Faux Guide, la poursuite de son exploration de l'identité marocaine et la question des origines.

[…]

[…] Les plus avisés notent «que trois des quatre candidats - Kader Attia, Barthélémy Togo et Yto Barrada - sont des artistes de plus de 40 ans qui interrogent les questions postcoloniales, parfois avec excès, créant même une ambigüité entre culture et identité». Ulla von Brandeburg est donc leur challenger. »

 

> Extraits de l’article de Valérie Duponchelle publié sur lefigaro.fr à retrouver en intégralité en cliquant sur le titre ou sur http://bit.ly/1Lj4kQo

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L’Institut du Monde Arabe lance le prix SAIMA pour la création contemporaine arabe

L’Institut du Monde Arabe lance le prix SAIMA pour la création contemporaine arabe | Art africain contemporain | Scoop.it

"Première édition pour le Prix SAIMA, initié par l’Association des Amis de l’Institut du Monde Arabe. Cette récompense vise à présenter la jeune création artistique arabe au grand public..."

 

[...] L’objectif est double. En premier lieu, placer sous les projecteurs des artistes venus de tous les pays membres de la Ligue Arabe dont le travail, s’il peut être connu dans son pays d’origine, peine à s’exporter à l’étranger. Puis, contribuer à la promotion des activités culturelles offertes par l’IMA. C’est pourquoi le prix sera chaque année décerné en lien étroit avec une exposition spécifique faisant partie de la programmation de l’IMA. Ouvert et varié, le prix ne se ferme à aucune forme d’expression, et étudiera tout registre, de la sculpture à la peinture en passant par le format numérique. Quant au vainqueur, il recevra une bourse d’aide à la création de 5000 euros, qui sera ensuite exposée au sein de l’IMA.


Qu’en est-il de la thématique ? À l’occasion de la tenue de la prochaine exposition de l’Institut : Les jardins arabo-musulmans : source de modernité(avril 2016), les œuvres concourant pour le prix devront traiter de thématiques très contemporaines, comme l’urbanisme, l’écologie et la place accordée à la nature dans l’aménagement des territoires.  Quelle est aujourd’hui la place du jardin dans les villes arabes ? Comment parvient-il à s’insérer, bon an mal an, dans l’urbanisme galopant actuel ? Comment ces espaces peuvent-ils refléter les soucis contemporains de développement durable ? ..."

 

> Accédez à la présentation complète en cliquant sur le titre 


Via Elise Atangana, François BOUTARD
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